Comment ne pourais-je pas
Le billet de blog de Seth Godin aujourd'hui commence par une question de quelqu'un qu'il appelle JK, qui demande : « C'est comme si quelqu'un pouvait démarrer sa propre entreprise ? Comment est-ce possible ? Comment font-ils face à la peur paralysante et aux dures réalités économiques ? ?"
JK a raison : cela semble impossible. Comme une montagne dont on ne voit même pas le sommet. Je lutte chaque jour pour rester motivé, pour m'empêcher de rester bloqué sur ce que JK a si succinctement résumé comme une peur paralysante et une dure réalité économique.
Depuis aussi longtemps que j'essaie de bâtir cette entreprise, mais même enfant, je regardais d'immenses bâtiments, ou de grands projets, ou des entreprises géantes, ou des festivals à grande échelle et je me demandais : comment chaque petite étape a-t-elle pu se réaliser. ? Le financement, les constructeurs, les permis, les artistes, les subventions, la planification ou les détails... comment diable toutes ces choses ont-elles pu être réunies pour former un événement, un programme ou une organisation aussi cohérent ? Pour moi, c'est ce que dit JK. Il dit que, compte tenu de la situation finale, il est incompréhensible que quelqu'un puisse choisir de commencer. La réponse, bien sûr, est qu’ils se rassemblent en étapes minuscules, insignifiantes, qui finissent par aboutir à quelque chose. Par incréments douloureusement lents, des choses belles et complexes peuvent être réalisées.
Entre autres paroles de sagesse, la réponse de Seth Godin à JK à la fin du message dit quelque chose qui est très vrai, du moins pour moi. Il dit : "[nous] le faisons parce que nous n'avons pas vraiment de choix en la matière. La voix dans nos têtes ne se taira pas tant que nous n'aurons pas découvert si nous avons raison, si nous pouvons le faire, si nous pouvons faire bouger les choses. . C'est un art, notre art, et le laisser enfermé est un crime. Je suppose que la vraie question, JK, est : "Comment peux-tu ne pas le faire ?"
La voix dans ma tête ne va certainement pas se taire. En attendant, je serai là. Faire un petit pas à la fois, faire de mon mieux pour équilibrer une peur paralysante avec un optimisme débridé.
JK a raison : cela semble impossible. Comme une montagne dont on ne voit même pas le sommet. Je lutte chaque jour pour rester motivé, pour m'empêcher de rester bloqué sur ce que JK a si succinctement résumé comme une peur paralysante et une dure réalité économique.
Depuis aussi longtemps que j'essaie de bâtir cette entreprise, mais même enfant, je regardais d'immenses bâtiments, ou de grands projets, ou des entreprises géantes, ou des festivals à grande échelle et je me demandais : comment chaque petite étape a-t-elle pu se réaliser. ? Le financement, les constructeurs, les permis, les artistes, les subventions, la planification ou les détails... comment diable toutes ces choses ont-elles pu être réunies pour former un événement, un programme ou une organisation aussi cohérent ? Pour moi, c'est ce que dit JK. Il dit que, compte tenu de la situation finale, il est incompréhensible que quelqu'un puisse choisir de commencer. La réponse, bien sûr, est qu’ils se rassemblent en étapes minuscules, insignifiantes, qui finissent par aboutir à quelque chose. Par incréments douloureusement lents, des choses belles et complexes peuvent être réalisées.
Entre autres paroles de sagesse, la réponse de Seth Godin à JK à la fin du message dit quelque chose qui est très vrai, du moins pour moi. Il dit : "[nous] le faisons parce que nous n'avons pas vraiment de choix en la matière. La voix dans nos têtes ne se taira pas tant que nous n'aurons pas découvert si nous avons raison, si nous pouvons le faire, si nous pouvons faire bouger les choses. . C'est un art, notre art, et le laisser enfermé est un crime. Je suppose que la vraie question, JK, est : "Comment peux-tu ne pas le faire ?"
La voix dans ma tête ne va certainement pas se taire. En attendant, je serai là. Faire un petit pas à la fois, faire de mon mieux pour équilibrer une peur paralysante avec un optimisme débridé.
